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Ma carriĂšre en main

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Ma carriĂšre en main

Des outils de coaching pour mieux vivre vote vie professionnelle !

đŸ˜± Les 6 grandes peurs qui VOUS empĂȘchent d’essayer d’obtenir l’emploi de vos rĂȘves !

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***

Bonjour Ă  vous les chercheurs astucieux. Bienvenue dans ce nouveau podcast pour le blog Ma carriĂšre en main.

Je suis Jeff Carlotti et aujourd’hui nous allons parler des 6 grandes peurs qui vous empĂȘchent d’essayer d’obtenir l’emploi de vos rĂȘves.

Ces 6 peurs, je ne les ai pas sorties du chapeau. Je les ai sorties de « L’école du succĂšs » qui est un livre qui a Ă©tĂ© coĂ©crit par Martin Latulippe, un coach confĂ©rencier international d’origine quĂ©bĂ©coise, que j’ai eu le plaisir d’interviewer et dont vous pouvez retrouver l’interview sur ma chaine YouTube Jeff Carlotti et sur mon blog Ma carriĂšre en main.

Et les 6 peurs qui sont évoquées dans ce livre sont les suivantes : 

  • La peur de la pauvretĂ©
  • La peur de ce que les autres peuvent penser ou attendre de nous
  • La peur de la concurrence
  • La peur de faire le mauvais choix
  • La peur de ne pas avoir l’expĂ©rience suffisante
  • La peur de l’échec

Donc dans ce podcast je vais revenir en détail sur chacune de ces peurs et je vais vous donner des clés pour les dépasser, notamment en faisant référence à mon expérience personnelle.

Avant de continuer, je vous invite Ă  vous rendre sur le site Ma carriĂšre en main, Ă  cliquer sur l’onglet « Plan du site », et Ă  cliquer sur la page qui s’intitule « Inscription Ă  la liste VIP ».

Pourquoi je vous demande de faire ça ?

Parce que je suis en train de crĂ©er une formation en ligne et c’est suite Ă  un sondage envoyĂ© pour voir comment je pouvais vous aider, et j’ai eu pas mal de retours, 132 exactement. Donc ça m’a donnĂ© la grosse tendance pour cette formation-lĂ  et j’aimerais l’affiner avec un nombre un peu plus restreint de personnes pour vraiment faire du travail qualitatif qui rĂ©ponde Ă  vos besoins et qui clairement vous aide.

Parce que je n’ai pas envie de passer du temps Ă  crĂ©er une formation qui Ă  mes yeux semble gĂ©niale mais qui ne rĂ©ponde pas aux besoins de personnes. Je ne vois pas trop l’intĂ©rĂȘt.

Donc si vous pouvez m’aider, rendez-vous sur mon site Ma carriĂšre en main, dans la rubrique « Plan du site », la page « Inscription Ă  la liste VIP ». 

Je vous laisse allez lire un petit peu ce qu’il y a marquĂ© et vous inscrire si vous en avez envie.

C’est parti ! Vous ĂȘtes prĂȘt ?

1. La peur de la pauvreté 

Alors lĂ  je vais faire rĂ©fĂ©rence Ă  Christian Junod qui est un coach, un confĂ©rencier, spĂ©cialiste de la relation Ă  l’argent, que j’ai eu aussi l’occasion d’interviewer, que vous pouvez retrouver sur mon blog ou sur ma chaine YouTube.

Et que dit Christian Junod ?

Il nous explique que l’argent n’est pas un obstacle. Que c’est un moyen au service de nos fins.

C’est-à-dire que si on perçoit l’argent comme un obstacle, c’est que notre rapport à l’argent n’est pas ok.

Moi, quand j’ai commencĂ© et que je me suis lancĂ© Ă  temps plein sur mon entreprise d’accompagnement Ă  la recherche d’emploi, Ă  la reconversion etc, j’avais le profil d’un Ă©cureuil.

C’est quoi un Ă©cureuil ?

C’est juste que j’associais mon sentiment de sĂ©curitĂ© Ă  mon Ă©pargne. 

C’est-Ă -dire que plus j’avais d’argent sur mon livret A, plus je me sentais en sĂ©curitĂ©.

Et le fait que je quitte mon CDI pour me consacrer au dĂ©veloppement de mon entreprise, mĂȘme si j’avais 3 ans de chĂŽmage devant moi, j’étais super stressĂ© parce qu’entre ce que je percevais, mes allocations PĂŽle Emploi, et lĂ  je ne pouvais plus aller grignoter dans mon Ă©pargne en dehors de mon salaire d’ingĂ©nieur. Ça je ne l’avais pas prĂ©vu et ça m’insĂ©curisait.

Et qu’est-ce qui m’a sauvĂ© quelque part ?

C’est le fait d’avoir suivi une formation qui s’appelle « La Neuro Business School ». C’est une formation animĂ©e par David Lefrançois et Yannick Alain. Et dans cette formation on vous explique comment construire une vraie offre de service Ă  forte valeur ajoutĂ©e et Ă  trouver des clients grĂące au rĂ©seautage.

Et le fait d’avoir une stratĂ©gie, je me suis dit « Ouf, c’est bon, je sais comment reconstruire mon Ă©pargne et comment gĂ©nĂ©rer de l’argent avec une stratĂ©gie, et du coup vivre de mon activité ». 

2. La peur de ce que les autres attendent de nous

Je vous invite Ă  regarder un super documentaire qui s’appelle « La puissance de l’intention », disponible gratuitement sur YouTube.

Dans ce documentaire vous allez voir David Laroche, qui est coach, conférencier français, qui parle de son papa. 

Il dit « Moi quand j’ai voulu crĂ©er mon entreprise, mon pĂšre ne me soutenait pas du tout et du coup j’ai pris mes distances par rapport Ă  lui pour avoir de l’énergie Ă  consacrer Ă  mon entreprise. »

Donc temporairement, il s’est Ă©loignĂ© un petit peu de ses parents. 

Moi c’est un peu ce qu’il s’est passĂ© quand j’ai voulu quitter mon CDI. Mes parents ont complĂštement paniquĂ© en me disant « Mais non, t’as la sĂ©curitĂ© de l’emploi, tu vas pas tout quitter ! Qu’est-ce que tu vas faire aprĂšs ? Et comment tu vas vivre ? »

Pleins de peurs qu’ils avaient eux et qui m’ont gentiment envoyĂ©. Ils ont fait de leur mieux bien sĂ»r, je ne leur en veux pas.

Par contre moi je l’ai super mal vĂ©cu. 

Il s’est avĂ©rĂ© que je me suis fait accompagner par une coach professionnelle pour faire cette transition du salariat au dĂ©veloppement de mon entreprise Ă  temps plein.

Et justement au dĂ©but j’ai utilisĂ© ça pour justifier de maniĂšre rationnelle, pour rassurer mes parents par rapport au fait que je n’avais pas fait un choix Ă  la va vite, mais que j’étais un choix mĂ»ri et rĂ©flĂ©chi. 

Et puis aussi, ce qui Ă©tait marrant, c’est que quand mes parents se sont rendu compte qu’en crĂ©ant mon entreprise et en la dĂ©veloppant j’étais beaucoup plus heureux que quand j’étais ingĂ©nieur, ils sont devenus mes meilleurs sponsors.

Et maintenant, si j’ai un coup de mou, ils sont lĂ  pour me soutenir. Et ça c’est juste gĂ©nial. Ils me donnent de l’énergie et merci !

3. La peur de la concurrence 

Je vous invite Ă  dĂ©couvrir Bertrand Millet qui est un serial entrepreneur Ă  succĂšs, et ce mec-lĂ , avec qui j’ai eu le plaisir de diner un soir, m’a parlĂ© de doubles identitĂ©s.

Ça, ça sert beaucoup dans l’entrepreneuriat. C’est de dire, je prends son exemple.

Il Ă©tait hypnothĂ©rapeute et polyglotte. Il a utilisĂ© l’hypnose pour aider les gens Ă  apprendre les langues. Donc 2 identitĂ©s :

  • HypnothĂ©rapeute 
  • Polyglotte

Et du coup il a aidĂ© les gens Ă  apprendre les langues grĂące Ă  l’hypnose.

Donc vous voyez un petit peu que mĂȘme si, comme il le dit lui-mĂȘme, ce n’était pas le meilleur des hypnothĂ©rapeutes, ce n’était pas le meilleur des polyglottes, il arrivait quand mĂȘme Ă  se positionner de maniĂšre relativement claire sur le marchĂ© en disant « Regardez ce que je fais, personne d’autres quasiment ne le fait. »

Personnellement je n’ai jamais entendu d’autres personnes le faire.

Et pour un travail salariat par contre, je vous invite Ă  regarder l’interview que j’ai rĂ©alisĂ© de Martin Latulippe, pareil sur mon blog Ma carriĂšre en main ou sur ma chaine YouTube parce qu’il a Ă©voquĂ© 9 points pour, en tant que salariĂ©, mĂȘme si on est jeune diplĂŽmĂ©, mĂȘme si on est Ă©tudiant, mĂȘme si on se reconvertit et qu’on n’a pas d’expĂ©rience, pour montrer sa motivation et pour se diffĂ©rencier de la concurrence.

Donc allez la voir, elle vaut de l’or.

Et moi dans tout ça. 

Quand j’ai commencĂ©, j’ai vu qu’il y avait dĂ©jĂ  des coachs, des gens qui aidaient les gens Ă  trouver leur voie, Ă  trouver du travail. Et j’avais peur. Je me disais « S’ils sont lĂ  c’est que tous les clients sont pris, moi ça sert Ă  rien. Qu’est-ce que je vais apporter de plus ? ».

Et lĂ  j’ai appliquĂ© un conseil de Susan Jeffers qui a Ă©crit dans son livre « Tremblez mais osez », c’est-Ă -dire que j’avais peur mais je l’ai fait quand mĂȘme. J’ai agi quand mĂȘme, mĂȘme en ayant peur, et j’ai appliquĂ© les enseignements de la Neuro Business School de Yannick Alain et David Lefrançois que j’avais reçu, et j’ai trouvĂ© des clients.

Et aujourd’hui j’ai suffisamment de clients en accompagnement individuel pour atteindre mes objectifs, pour en vivre.

Donc lĂ  j’ai encore un an pour vraiment pĂ©renniser la chose, mais grosso modo j’ai vraiment identifiĂ© la chose comme quoi c’est faisable.

4. La peur de faire le mauvais choix

Alors lĂ  je vais vous donner l’exemple de Yannick Alain, qui, dans l’une de ses vidĂ©os, explique qu’au dĂ©but, quand il s’est lancĂ© dans la crĂ©ation de son entreprise il est parti pour aider les commerciaux Ă  vendre des produits, des services, de maniĂšre Ă©thique.

Et il s’est aperçu que les gens venaient le voir mais pas pour apprendre Ă  vendre de maniĂšre Ă©thique mais pour apprendre Ă  se vendre en entretien afin de dĂ©crocher du travail.

Et du coup il a changĂ© son positionnement. Mais grosso modo, tout le travail qu’il avait fait en amont lui a permis de se faire connaitre et lui a permis d’avoir des personnes qui viennent le voir avec des demandes.

Et j’ai eu le mĂȘme problĂšme quand je suis parti dans la crĂ©ation de mon entreprise. 

Dans le dĂ©veloppement de mon entreprise je me demandais si je devais dĂ©velopper plus la partie recherche d’emploi, plus la partie orientation professionnelle. Je n’étais pas du tout serein. Je ne savais pas, comme je l’ai dit plus tĂŽt, si je pouvais en vivre et je me disais « Mon dieu mais quel est mon poids, qu’est-ce que je dois cibler pour rĂ©soudre les problĂšmes pour ĂȘtre sĂ»r que ça marche ? »

Et en fait, je me suis aperçu avec un an de bouteille en plus que non seulement c’est possible de vivre de cette activitĂ©, mais que le fait d’avoir fait tout ce chemin m’a fait dĂ©couvrir de nouvelles choses, comme l’aide Ă  la crĂ©ation d’entreprise.

Et aujourd’hui j’ai dĂ©veloppĂ© un nouveau service lĂ -dedans et je m’éclate, pour aider les gens Ă  crĂ©er rapidement une entreprise, une offre de services, Ă  trouver des clients.

Ce que je vous invite Ă  faire, au vu de mon expĂ©rience, c’est d’agir en suivant vos envies. Parce que c’est en chemin que vous allez dĂ©couvrir de nouveaux mondes comme dit Philippe Gabilliet dans son livre « Éloge de la chance », et dans ces nouveaux mondes vous allez dĂ©couvrir de nouvelles choses susceptibles de vous plaire davantage.

Je vous prends un autre exemple.

Parce que je me suis lancĂ© dans le dĂ©veloppement de mon entreprise, j’ai eu l’occasion d’intervenir Ă  la journĂ©e de l’audace corse, et j’ai rencontrĂ© Michel Poulaert, qui est confĂ©rencier professionnel et qui m’a fait dĂ©couvrir le mĂ©tier de confĂ©rencier professionnel.

Et j’ai envie, à terme, de me tourner vers ça.

C’est super important les chercheurs astucieux, je vous invite à vous mettre en chemin. Tant que vos objectifs tiennent la route, allez-y.

Si c’est quelque chose qui vous fait Ă  peu prĂšs envie, allez-y parce que vous allez dĂ©couvrir d’autres envies en chemin.

Comme disent Yannick Alain et Martin Latulippe « On ne sait pas ce qu’on ne sait pas ». Et ça c’est le principe de la rationalitĂ© du sociologue amĂ©ricain Herbert Simons. 

Donc trouvez-vous un objectif qui vous motive suffisamment pour apprendre, vous développer, avoir un projet qui vous plaise, et allez-y.

Et en chemin vous découvrirez de nouvelles choses qui seront susceptibles de vous plaire davantage. 

Et tout ce que vous aurez fait pour en arriver là ça vous servira.

5. La peur de ne pas avoir l’expĂ©rience requise

Alors c’est Tim Ferriss qui m’a sauvĂ© la vie grĂące Ă  son livre « La semaine de 4 heures » que j’ai lu et que je vous invite Ă  lire, dans lequel il vous explique que pour devenir un expert, il vous suffit quelque part les 3 best-sellers vendus dans votre domaine et vous en saurez plus que 90% de la population.

Et c’est suffisant.

Je me rappelle, quand j’ai dĂ©butĂ© et que je voulais faire de l’accompagnement Ă  la recherche d’emploi, j’ai discutĂ© avec un ancien DRH qui donnait des cours lĂ -dedans, et le mec me dit « Monsieur Carlotti, comment osez-vous vouloir faire ça ? Vous n’avez pas de diplĂŽmes en RH, vous n’avez aucune expĂ©rience en RH, comment osez-vous ? »

Bon
 sur le moment ça m’a fait flipper mais heureusement que je n’ai pas Ă©coutĂ©, grĂące au soutien que j’avais Ă  droite et Ă  gauche, parce que ma prof de psychologie Ă  l’époque m’a donnĂ© un livre de technique de vente appliquĂ©e Ă  la recherche d’emploi que j’ai appliquĂ©, avec lequel j’ai eu des rĂ©sultats et du coup, un bouquin et j’avais de quoi transmettre pour former les gens Ă  la recherche d’emploi.

Donc vous pouvez devenir un expert au sens d’en savoir plus que 90% de la population trùs trùs facilement.

6. La peur de l’échec

Là je vais vous sortir du Christian Junod une nouvelle fois, ainsi que Nicholas Boothman avec un livre « Convaincre en moins de 2 minutes » que je vous invite aussi à lire.

Vous avez beaucoup de devoirs suite Ă  ce podcast.

Tous les 2 disent que la vie c’est une succession d’expĂ©rience et que l’idĂ©e c’est de vivre le plus en conscience possible pour tirer des leçons de ses expĂ©riences de vie.

Je vous prends un exemple. Quand j’ai commencĂ© Ă  me lancer Ă  temps plein sur la crĂ©ation d’entreprise, j’avais une peur panique et je me disais « Si ça marche pas, comment je vais faire pour retourner au salariat ? » 

C’est une peur qui n’est pas rationnelle, pourtant c’était une peur qui Ă©tait prĂ©sente. Et je me disais « Mon dieu mais si on voit sur mon CV que je me suis arrĂȘtĂ© pour faire autre chose et que j’ai pas rĂ©ussi Ă  faire ce truc-lĂ , jamais on ne me reprendra dans un boulot d’ingĂ©nieur. »

Et puis, de nouvelles solutions que je vous conseille, c’est d’agir en suivant vos envies.

Je vous ai parlĂ© de formations. Moi le fait de me former et dĂ©velopper mon entreprise, ça m’a permis d’acquĂ©rir de l’expĂ©rience dans mes actions web, en tout ce qui est mener des interviews, notamment grĂące Ă  la formation bloggeur Pro d’Olivier Roland. J’ai interviewĂ© plus d’une quarantaine d’experts.

Donc je sais que si jamais je dois me vendre, je pourrais proposer d’interviewer des experts pour aprùs diffuser du contenu sur leur site web par exemple.

Donc voilĂ . Vraiment, si vous avez peur de l’échec, il y a le cĂŽtĂ© de la formation et le cĂŽtĂ© d’agir bien sĂ»r en suivant ses envies.

Et en chemin on va acquĂ©rir de l’expĂ©rience qu’on pourra valoriser pour la suite. 

VoilĂ  les chercheurs astucieux. J’espĂšre que j’ai Ă©tĂ© clair pour vous.

Si je vais trop vite, s’il y a des questions, mettez-les-moi dans les commentaires.

Donc je vous résume les 6 peurs : 

  • La peur de la pauvretĂ©
  • La peur de ce que les autres attendent de nous
  • La peur de la concurrence
  • La peur de faire le mauvais choix
  • La peur de ne pas avoir l’expĂ©rience requise
  • La peur de l’échec

Et toutes ces peurs c’est Ok les chercheurs astucieux. C’est OK de les avoir.

Maintenant il y a des solutions qui existent pour les dĂ©passer. Je vous ai fait part de celles qui m’ont aidĂ© Ă  les dĂ©passer dans le cadre de ma reconversion et de ma crĂ©ation d’entreprise.

Donc je vous invite à réécouter ce podcast tranquillement, à prendre des notes. Et justement si vous avez repéré une de ces peurs que vous avez, trouvez une piste de solution qui puisse vous servir.

Je vous remercie de m’avoir Ă©coutĂ© les chercheurs astucieux.

Je vous invite encore une fois Ă  aller sur le blog Ma carriĂšre en main, Ă  cliquer sur l’onglet « Plan du site », Ă  cliquer sur la page « Inscription sur la liste de VIP », lisez ça.

Et si vous voulez m’aider Ă  construire une formation pour vous aider Ă  enfin dĂ©crocher l’emploi de vos rĂȘves et passer plus de la moitiĂ© de votre vie heureux, et bien inscrivez-vous.

Parce que moi maintenant, aprùs 3 ans dans ce que je fais aujourd’hui, je sais que c’est possible et j’ai envie de vous montrer comment c’est possible.

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